Je suis femme de parole. Si je dis "non" à quelqu'un, c'est "non". Si je veux insister, je dis "niet". Dans ce cas, ce n'est plus la peine de revenir. Ca ne sert à rien.
Ca fait 5 fois que je dois envoyer bouler 2 personnes qui se prétendent une équipe mobile s'occupant des sans-abris, 5 fois que je dois leur dire que je ne veux même pas leur parler. Cette fois-ci, un des 2 s'est dit médecin. Comme si les médecins allaient chez leurs patients sans être appelés par eux. Ils ne peuvent pas. Je vous signale que je suis médecin moi-même et qu'en tant que membre du FSB, je ne peux consulter autre médecin que celui de l'ambassade de Russie. Je vais d'ailleurs très bien et n'ai pas besoin de consultation. Je suis présidente de Russie par mon mariage, vice-présidente par ma fonction, membre du Conseil russe et ai le grade de général, le plus haut grade en Russie. Je suis le bras droit de Vladimir Putin. En Belgique, je viens de terminer ma mission auprès d'Elio di Rupo. Je l'ai assisté dans toute sa carrière, envoyée par la Russie. Je l'ai même représenté auprès du roi Philippe alors qu'il était malade. C'est pour vous dire que je ne suis quand même pas rien. Et on me fait ça. On ne respecte même pas mes desideratas. Je me demande quel grade je dois obtenir pour que ces 2 personnes venues m'importuner ce jour me fichent enfin la paix.
Ils insistent tellement qu'ils me donnent l'impression d'être mormons. Or je ne suis pas mormon et ne veux, en aucun cas, le devenir. Etant donné leur système et leur ingérence, je ne peux accepter leur intervention auprès de mes proches et moi. Ils doivent comprendre que, pour être intègre au sein du Conseil russe, je ne peux subir aucune manipulation.
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