Pour mettre fin aux ragots qui me disent mariée avec n'importe qui, même avec des personnes que je ne connais absolument pas, j'aimerais vous révéler le nom de l'heureux élu. Vous le savez d'ailleurs, vous qui venez sur ce blog.
Je suis bien l'épouse de Vladimir Putin, de son nom d'enfance Vlad Bassorat. Oui, comme le Comte Dracula. Lors de notre longue vie au KGB, ensuite FSB (ben oui, en Russie, c'est comme partout, afin qu'on ne s'y retrouve plus, les instances changent de nom), nous avons eu plusieurs missions en accord avec la Belgique dont une pendant laquelle lui et moi avons été Elio di Rupo et son épouse. Certains prétendent là-dessus que je suis la maîtresse d'Elio di Rupo. Ils chantent à qui veut bien les écouter "Pauvre Vladimir. Il vient en Belgique pour son épouse et elle lui fait ça !" Non, c'est le même homme, Elio di Rupo et lui. Par contre, il n'est pas Papaya. Quand Vladimir et moi sommes arrivés en Belgique pour y effectuer une enquête sur un mort belge trouvé en Russie, on lui a dit de prendre le pseudonyme "Elio di Rupo" le temps de notre mission. C'est comme moi. J'ai 2 noms officiels et plusieurs autres dans une vie artistique (cinéma, chanson et musique) et en sport. En Russie, je suis Tina Tchernenko et en Belgique, je suis Martine Dessénius depuis ma plus tendre enfance. Vlad et moi sommes bel et bien mariés malgré ce que certains en pensent, et en plus sous plusieurs rites : démon, hindou, laïc, orthodoxe et juif. Oui, apparemment, on voulait être certains que notre mariage soit valable. Et bien, il ne l'est pas en Belgique. Cela ne permet quand même pas de me considérer comme célibataire et libre de contracter un autre mariage. Je ne le veux d'ailleurs pas.
Qu'aucun mormon ne se prétende mon mari ou se permette de me mettre en administration. Même si je venais à être agressée par l'un d'eux ou en groupe, je serais une victime mais pas l'une de leurs épouses. Et ce, jamais.
Je n'admets d'ailleurs pas leur système.
Nous espérons qu'il n'y a pas d'autres Vladimir Putin, Elio di Rupo, Tina Tchernenko et Martine Dessénius car on nous dit des trucs sur nous que... pfouuu. On se demande à chaque fois où ils ont été chercher ça. Si c'est le cas, nous leur présentons nos excuses pour les désagréments que nos vies publiques ont pu leur apporter.
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